“J’ ai recouvert mes mots (maux) d’un sens qui m’émeut, c’est ici que réside l’acte poétique.”
Mes mots, jamais assez puissants, précis pour relater la puissance de tes frappes. Quand à mes larmes, elles sont trop muettes pour refléter tous les cris que je n’ai pas poussés à chacune de tes claques.
Merci à Anaïs !