Claire Diterzi

ROSA LA ROUGE ! Une épopée musicale de Claire Diterzi et de Marcial Di Fonzo Bo qui traduit la puissance des pensées et convictions de Rosa Luxemburg et la part imaginaire de son esprit.

Rosa Luxemburg ressentait le besoin permanent de se dépasser. Elle était à la fois propagandiste, militante clandestine, intellectuelle, journaliste, théoricienne, dirigeante politique.

Le spectacle fait de Rosa l’artiste qu’elle n’a jamais été et l’artiste qu’elle n’a jamais eu l’idée de devenir et lui apporte toute la fantaisie et l’excentricité qu’elle n’a jamais côtoyées dans le monde brutal, viril et macho de la politique de son époque…

Claire Diterzi – Live-Boutique.com (afficher sur Google Sidewiki)

Epanouir la politique…

Encore faut-il savoir (vouloir) faire les choix et arbitrer les priorités qui dépassent largement l’économie !

Malgré la double réforme envisagée par le Gouvernement (suppression de la Taxe Professionnelle des Entreprises et de la compétence générale des collectivités), la société civile doit affirmer avec fermeté ses envies…

Un projet (et donc son budget) doivent s’articuler sur plusieurs pans de la vie en société.
Culture, social, qualité de vie, environnement…
Ou alors, on décide de vivre dans un monde robotisé et lobotomisé !
Comme la littérature de science-fiction en a déjà décrit souvent…
Mais j’ai bien peur que nous soyons dans l’anticipation !
Et la politique friction

Les politiques font des choix évidemment avant tout politiques, tautologiquement parlant bien sûr…
Pourtant, le tautologisme politique serait sur le point de se terminer selon certains médias. Humoristiques bien sûr ! (La Feuille de Manioc…).

Bref, qui pourrait être le grand instigateur de cet état de merde ? Sans jeu de mots aucun…
Un indice ? Encore qu’il n’est évidemment pas le seul. Loin s’en faut !

Ta Gueule !

Un coup de gueule rouge et vert !

En tous les cas, lui, il ne la ferme pas…

Bonjour au Parlement et au blogueur Slovar qui s’amuse à comparer le discours avec celui de De Gaulle, méfiant face à une Europe sans sa propre politique…

‘L’Europe ! L’Europe ! L’Europe !’, disait le Général…

Méfions nous donc de la coalition des hypocrites !
Un clic sur la vidéo et tu verras…

Bd à Angoulême !

Festival d’Angoulême !

Le monde entier vient de se souvenir qu’il adore la bande dessinée, bien que le reste de l’année il n’en ait royalement rien à faire.

Le meilleur de la BD à Angoulême (afficher sur Google Sidewiki)

Iléana était là, Cheb aussi mais Lilla a remporté le prix…

Encore des amazones du blog qui se démarquent avec brio !

D’autres se distinguent avec la lecture et mettent en avant des auteurs qui n’intéressent pas les médias…
Ces critiques du net donnent le ton à l’instar de Clarabel, de Cuneipage ou de Cathulu

Festival de blogueuses ?

Daniel Bensaïd

Le théoricien est mort !

Mais pas ses idées…

Philosophe, enseignant à l’Université de Paris VIII, il a publié de nombreux ouvrages de philosophie ou de débat politique, dont ‘Prenons parti pour un socialisme du XXIe siècle’ (Editions Mille et une nuits, 2009), en collaboration avec Olivier Besancenot, super facteur national

Daniel Bensaïd est mort – Libération (afficher sur Google Sidewiki)

Ou bien tu luttes contre les abus du capitalisme en disant qu’un autre capitalisme est possible, ou bien tu cherches les voies et les moyens pour le renverser (Les Motivés)
Non, la pensée n’est pas éteinte et le penseur non plus (Daniel Mermet)
Comme disait Bensaïd : ‘au moins pour s’épargner la honte de ne pas avoir essayé’ !

Pour sauver la planète, sortons du capitalisme (Hervé Kempf) !

Spéciale dédicace pour Cécile de l’Idoire, sa lecture, son soutien et ses conseils !

Un choix de société ?

Parée des plus positifs et pacifiques atours, la culture aura, avec l’éducation, sans doute été l’une des armes les plus redoutables des conquêtes coloniales…

Pourtant, l’action publique de la culture est aujourd’hui la cible d’une attaque frontale avec la mise en action de la trop fameuse RGPP (Révision générale des politiques publiques). Arme hautement idéologique dont l’une des principales dispositions consiste à ne pas remplacer un fonctionnaire sur deux partant à la retraite, la RGPP est l’instrument d’une privatisation massive et aveugle de la culture, de sa soumission aux lois, protocoles et intérêts de l’industrie culturelle.

Les temps sont loin où prévalait l’idée d’une exception culturelle et artistique, où il était largement admis que les lois du marché, du chiffre et du profit devaient épargner la culture et l’art.

Il semblerait donc exister deux poids et deux mesures…

Paris Art (afficher sur Google Sidewiki)
Des bataillons de bénévoles se mobilisent pour apporter des réponses à des questions cruciales pour la vie en société (comme la précarité croissante, la montée de la violence urbaine ou la prise en charge de la fin de vie). (338 Basta). Ce qui amène à s’interroger sur le rôle nouveau de l’Etat et son périmètre d’intervention en matière de continuité républicaine, de sécurité et de dignité pour tous sur tout le territoire. C’est-à-dire des missions régaliennes de l’Etat…
Finalement, les bénévoles seraient-ils plus compétents que les services de l’Etat dans la prise en charge des défis liés à l’insertion sociale ou au développement culturel ?
Ou plus simplement, les bénévoles seraient-ils plus volontaires ?
On me dit que c’est la crise….
Quelle crise ? Pour qui ?
Le système bancaire est au mieux depuis qu’il n’est plus au plus mal !
On me dit que c’est la décentralisation…
Alors, commençons à rééquilibrer les financements. Et particulièrement les locaux !
On me dit que c’est la remise en cause du principe de l’intervention publique ?
Demain, les collectivités risquent de ne plus avoir ni le droit ni les moyens de conduire des politiques culturelles en raison de la suppression de la clause générale des compétences (Seine Saint Denis. La culture en danger).
Où sont les contre-pouvoirs ? Existent-ils encore réellement ?
On peut toujours se demander à qui profite (la crise) le crime…
On peut aussi se contenter d’y penser et accepter de vivre dans un monde d’égoïsme…
Et poussant le raisonnement par l’absurde jusqu’au bout, on pourrait se dire que finalement, le meilleur contre-pouvoir serait peut-être de stopper le bénévolat !
Ou aussi ???