▶ Lightning Guy

Guy Verlinde et the Mighty Gators             
L’Abattoir. Samedi 11 avril

 

Dans leur conquête des scènes européennes, Guy et ses reptiles prennent le temps d’une halte à l’Abattoir…

Dans la lignée de Hound Dog Taylor, les crocos maraudent à travers les arcanes du blues, Chicago ou Louisiana Swamp…
Guy n’est pas seulement un excellent musicien (slide guitar, harmonica et chant) mais aussi un performer. Les gens bougent leurs culs et prennent du bon temps : ‘Laissez le Bon Temps Rouler’ !!! A noter la présence de Marino Noppe, figure légendaire du blues belge et mentor de Guy !

https://www.youtube.com/watch?v=m2eA4HtYXss

Jef Kino et Loïc Lantoine

Garage Club Kino

Retour le mardi 17 décembre à l’Abattoir. Lillers

Finis les accordéons ! Jef effectue un virage musical radical pour son retour au Garage Club de l’Abattoir… Nous voici en boîte ! Jef s’en explique ouvertement dans le journal de France 3 : ‘On est moins dans le frontal. L’idée est qu’on puisse réfléchir en bougeant la tête et les pieds’…

Nostalgie oblige et voilà une reprise des Talking Heads, Psycho Killer… Mais c’est bien connu, Jef a un coeur d’artichaut ! D’ailleurs, Arthy n’est pas loin. Et son show non plus !

Lantoine
Quelques verres au bar et Loïc Lantoine propose un pot d’échappement sur la route d’Armentières à Baïkonour. Monsieur Arbre, un maître de la guitare espagnole, l’accompagne allégrement dans cette aventure… En fait, l’arbre ne cache pas la forêt mais Karim et sa guitare andalouse pour donner la réplique à Loïc dans ce tour de chant quelque peu surréaliste… Surtout avec Dali juste derrière !

Parolier de Jehan, l’interprète de Bernard Dimey et Claude Nougaro, Loïc écrit avec Allain Leprest et sillonne les rades parisiens de la rue Kétanou… Son côté punk ?

Loïc et ArthyFinalement, Loïc ferme le bistrot et cède la place à Arthy pour une séance de photos. Une belle occasion d’immortaliser la soirée sur la scène de l’Abattoir…

En tous les cas, cette cuvée Kino Lantoine provient bien du même tonneau ! Celui de la vigie pirate d’Astérix ? Plutôt le Mad’Tonneau dans une démarche altruiste visant à créer du lien et mettre en valeur les personnes invitées… Spéciale dédicace à Arthy pour ses photos ! Mad Tonneau

Et Azué et ses deux ans de danser au premier rang, Fabienne siroter son anisette, Flo et moi digérer le cassoulet…

Une excellente soirée ‘Personne ne Botte en Touche’… A l’image des bottes de Loïc Lantoine !?!

Bottes

Rock´n roll Animals !

Burdon Olympia A night at the Olympia ! Ni Queen ni Lou Reed mais les retrouvailles d’Eric Burdon et de ses Animals… Rien moins que ça !

Petit rappel historique : Eric Burdon devient en 1962 le chanteur de l’Alan Price Combo, rebaptisé The Animals un an plus tard. À la dissolution du groupe, en 1966, il s’exile en Californie et monte The New Animals, le temps de quelques titres… En 1970, il réalise un de ses rêves : se retrouver à la tête d’une formation noire, War, ex Nite Shift, le temps de deux albums aujourd’hui légendaires (Eric Burdon Declares War, 1970, Black Man’s Burdon, 1971). Moins de deux ans plus tard, il enregistre avec le bluesman Jimmy Witherspoon avec lequel il fera plusieurs tournées bien des années plus tard, forme l’Eric Burdon Band sans grand succès, puis s’embarque dans les nombreuses tentatives d’une carrière solo un peu chaotique…

Éric déroule une panoplie de tubes à faire rougir un plombier en manque de pression… War est au menu… Un medley plus loin et c’est le Vésuve avant Pompéi… Encore un rappel et la salle explose… De quoi faire pâlir un alpiniste sous la neige ! Et ressusciter le fantôme de l’Olympia… Bruno Coquatrix n’a qu’à bien se tenir… Flo en profite pour faire une photo. Tiens, c’est quoi cette ombre fugace ? Burdon Band Olympia
Une dernière pression au bar pour la faire descendre. Marilo, Thierry et Stéphane arrivent de l’orchestre. Marilo à frôlé l’ombre d’Eric… La transe ! Une horrible pensée me vient à l’esprit… Et si c’était celle de Bruno ? Sueur froide ! J’avale ma bière… À la gloire du rock´n roll !

Mais je ne manquerai pas l’occasion de revenir sur deux autres légendes…

Les Yardbirds et Little Bob à l’Abattoir… Le petit chaudron connaît bien les deux bestiaux… Tombés dans la potion magique dès la naissance. Nul doute que les druides se soient penchés sur leur cas…

Little Bob Bob confirme sa réputation de meilleur chanteur français à l’ouest du Channel… Tout en raflant le premier prix de camaraderie : ´Il était là au début, je l’ai perdu de vue un moment, il est revenu, et il sera toujours là’… Hommage au guitariste légendaire de Little Bob Story ! À sa droite ! Gilles Mallet et ses riffs incendiaires… Un pur musicien de rock !

The Yardbirds C’est la récré pour les Yardbirds… Les piafs ont fait des oisillons : ‘we are the White Birds, no, the Yardbirdś´, piaille le jeune chanteur black… Dédicace particulière au nouveau guitariste sorti du nid. Dans le rôle d’Eric Clapton, Jeff Beck et Jimmy Page !!! Sans oublier Gypie Mayo !

Un mois de novembre vraiment rock’n roll, au calendrier chargé : Yardbirds samedi 9, Eric mardi 26 et Bob samedi 30… Rock´n roll attitude !

Les Skints à la Fête

Skints au PubFête de la Jeunesse à Lillers. Vendredi 30 août pour l’édition 28 !

Les Skints écument les pubs comme ils sillonnent les festivals au son du reggae et de la panoplie instrumentale de Marcia… Les Londoniens s’éclatent comme au Camden Barfly… Et Lola des Bérus n’en pense pas moins !

Samedi, le tremplin Frog’n Roll donne une nouvelle dimension au stand de l’Abattoir. Le dobro et la cigarbox du Captain local se répondent dans des airs de Captain Boogie

Clin d’oeil à Franck et aux Incroyables Aventures de CAPTAIN BOOGY en écoute ici
Captain Boogy

Vibrators A peine le temps d’un gigot de sept heures chez Marilo et Thierry et le festival explose le dimanche dans un ultime concert des Vibrators. Un seul mot d’ordre : les amplis à fond !

Les charts s’enchaînent à la vitesse du son : Automatic Lover, Baby Baby

God save the Queen !?!?

Faudrait-il un sex toy pour cette fois ?

TROP FORT !

Quand Londres s’invite à la Fête…

Nicolas Ducron

Lillers, mardi dernier, pour des retrouvailles à l’Abattoir

Après des débuts dans un groupe punk de Boulogne sur Mer, Nico se reconvertit : membre émérite des Fouteurs de Joie, il se produit aussi en solo ou avec quelques compères comme Alexandre Léauthaud. Un répertoire très large allant de la valse ou la java aux rythmes de cowboys : chansons à texte, accordéon, guitare ou yukulele…

Nicolas fait grincer ses mots sur le sol carrelé des petits bistrots et n’est sûrement pas à un rappel près. La soirée se poursuit chez Christophe qui nous parle de son abri de jardin, d’après lui son seul refuge du lendemain…

Que d’agitation