Symbaloo est un bureau gratuit qui rassemble les favoris de manière concise.
Le mien traite d’actualités, de musique et d’échanges…
Cliquer sur l’image pour le découvrir. J’espère que vous testerai le votre bientôt !
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Joy, alias Ayo en Yoruba, chante reggae comme Marilou et brasse les cultures nigériane et tsigane de son enfance.
Elle chante ses blessures d’apatride, le racisme, l’Afrique mais aussi le bonheur d’être en vie…
Pour bien démarrer l’année. Décongélation garantie !
Et l’amour aussi !
‘Down on my knees’ ! De l’album Joyful…
Encore pour Kathy in Perth, Western Australia !
Et aussi Cat Gi, de Konkern en Bretagne…
Chan Marshall alias Cat Power naît à Atlanta (USA).
Elle tourne avec les Pretenders et traverse l’Australie avec sa musique minimaliste. Chan (prononcé ‘Shawn’) a la particularité de chanter avec un accent américain sudiste…
De Geoffrey à Robyn : live in Australia !
For Kathy !
Brisbane, capitale du Queensland.
Mais l’Histoire ne fut pas tendre, évidemment…
En 1824, Sydney ressentait le besoin de la création d’une colonie pénitentiaire pour les plus récalcitrants des prisonniers les ‘convicts’ plus loin au Nord dans la zone tropicale. Un premier site fut retenu sur la côte, à Red cliffs point, mais devant l’hostilité des aborigènes locaux et le manque d’eau la colonie se replia sur les rives de la rivière Brisbane.
De la Barbade à Brisbane : sous le parapluie de Rihanna…
Du rock aux accents slam et new wave truffé de rythmes caribéens sous amphètes !
Robyn Rihanna Fenty, plus connue sous le nom de Rihanna, est une chanteuse barbadienne. Née à Saint Michael (Barbade), elle s’installe aux États-Unis lorsqu’elle a 16 ans.
En 2007, elle obtient un Grammy Award dans la catégorie meilleure collaboration rap pour Umbrella.
Rated R. 2009.
L’album est sorti fin novembre. Deux singles à noter : Russian Roulette et Wait Your Turn…
Rihanna – Wikipédia (afficher sur Google Sidewiki)
Rihanna et Amy (Winehouse) demandent leur Rehab !
Pour Robyn, on dirait le début d’un film de Spielberg : bagnole rouge, camion (moto) noir avec chauffeur invisible…
Mais le Duel s’arrête là !
Si Edith file sa toile, Geoffrey surfe sur les sons…
‘ J’entends tous les sons. Les oiseaux, les gens qui parlent, les vagues. Tout… Des fois, à la maison, j’entendais les cérémonies, ou les personnes âgées qui discutaient et j’apprenais beaucoup grâce à ça. J’écoute les choses tout le temps car je ne peux pas les voir. Cela m’aide à comprendre ce qui se passe’. (Sydney Morning Herald, 03/08).
‘ Je veux seulement que ceux qui écoutent ma musique soient heureux. Heureux d’écouter de la musique Yolngu et qu’ils aiment ça. Ce serait bien qu’ils apprennent ce qu’est la culture Yolngu, nous avons de beaucoup de bonnes histoires’.
Ainsi s’exprime Geoffrey Gurrumul quand il ne partage pas avec Sting des chansons à couper le souffle…
Fin 70, Edith Nylon sévit avec son frangin Zako et ses potes du 16 dans un groupe parisien punk fucking bourgeois…
Nettement inscrite dans la mouvance punk, Edith Nylon préfigure Rita Mitsouko. Elle joue en première partie de Police. Plutôt que de devenir la Nina Hagen française, Mylène Khaski (de son vrai nom) se retrouve à la tête d’une entreprise en Asie.
Finie la soie, vive le nylon !
Edith Nylon était dans la promo de Science Po de François Hollande. Et aujourd’hui, elle est une working girl de Manhattan, très respectée et très très successful comme on dit…
Elle est américaine depuis tellement longtemps qu’elle ne parle Français qu’avec un fort accent New Yorkais. Et c’est assez touchant !
Pour Isabelle, une fan des premiers temps…
En ces temps politiques de démantèlement compulsif des services publics, placés sous les coups de boutoir d’un arsenal de lois technocratiques, d’actions de privatisations et de marchandisations tous azimuts, il ne suffit pas de constater que la culture est en grand danger.
Ni se soumettre à la fausse nécessité libérale de la privatisation, ni se satisfaire de la caricature actuelle du service public de la culture, mais inventer un vrai service public capable de stimuler la vie culturelle et artistique autour de valeurs débattues démocratiquement.
Le marché est moins un espace de libre création artistique que le territoire des œuvres-marchandises.
Or, l’art et la culture ne sont pas seulement des marchandises à acheter et vendre, ce sont aussi des opérateurs de cohésion sociale, des générateurs de communauté, des vecteurs de valeurs, des éléments de reconnaissance. Dans les sociétés de liberté, ils peuvent contribuer à la mission sociale et historique de construire entre les hommes, par delà les différences et les origines, du commun, du lien et de l’humanité.
L’arme gouvernementale de destruction massive de l’art et de la culture a pour nom la RGPP, qui signifie exactement la «Révision générale des politiques publiques».
C’est un programme très concret qui est en train de bouleverser tout l’édifice de la société française conçu au sortir de la Seconde Guerre mondiale: un plan méthodique de démantèlement des services publics, sous couvert de les moderniser, de les revaloriser, de les réformer. Si c’est une réforme, c’est une réforme à l’envers, une contre-réforme.
La culture est toute retournée. Elle a besoin d’un service public fort, intelligent, dynamique, ouvert, efficace et dûment doté.
L’émission quinqua n’existe plus. Ouf !
Sous couvert d’une jeunesse qui s’amuse, Daniel Filipacchi et ses copains se lancent dans la fabrication de chouchous (Sylvie, Johnny et Eddy, Adamo, Cloclo, Françoise et Jacques…).
La copie des standards américains et anglais devient le sport national et participe à l’abrutissement d’une génération condamnée par la prétention de certains qui décident que le rock n’a pas d’avenir en France…
Certes, tous les yéyés ne sont probablement pas à jeter (achetés) mais la bêtise doit rendre aveugle…
On pourrait en rire !
Comme dit Dany Boon : ‘le rire sublime la connerie humaine’…
Quant à Albert Einstein : ‘il y a deux choses infinies, l’univers et la bêtise humaine. Malgré tout, pour l’univers, pas si sûr’…
Mélaka est une blogueuse de la première heure, elle a donc vu le phénomène des blogs prendre son essor et des “petits” blogueurs devenir des mastodontes du web. Allez en lire plus sur son parcours !
‘Je pense que j’ai renoncé depuis le début à entrer en compétition avec ces jeunes pimbêches qui font rien qu’à avoir du talent. Et que ça fout le tournis, tellement y en a, des qui ont du talent’…