Pourquoi Lily ?
D’abord, elle n’a pas froid aux yeux et puis, pour le reste et en m’associant à Marion Cotillard : ‘j’aime bien l’angleterre et le rock. Elle est anglaise et elle est rock’…
Fuck you !
L’esprit des Fab Four souffle toujours sur les docks de Liverpool.
Candie Payne réclame une dernière chance…
Et Abi Harding emmène ses Zutons avec une telle ferveur qu’Amy Winehouse ne résiste pas à reprendre le single Valerie…
Le mythe de la ‘caverne’ est donc toujours bien d’actualité !
Quand il n’est pas refondu à la sauce des alpages version Erika Stucky, Jimi fait son marché rue Daguerre à Paris…
Foxy Erika?
La nouvelle année approche. Voici donc une bonne occasion de conclure avec un dernier billet 2010 et de vous souhaiter avec John Fogerty une année 2011 riche et prospère…
Musicalement vôtre !
Encore une enfant des alpages !
Née à San Francisco, Erika navigue entre jazz et yodel. Sa musique marie à merveille sa double culture américano-suisse : entre Laurie Anderson, Franck Zappa, Jimi Hendrix et même Fifi Brindacier…
La nouvelle star suisse peut tout chanter, du jazz au folk. Avec elle, même le suisse-allemand devient sexy…
Balade musicale avec Emilie Welti, de son vrai nom…
Et clin d’oeil à Isabelle de Fribourg !
Eva est une figure montante de la scène hispanique jazz. Née au Honduras, la madrilène se balade avec une musique riche d’influences, du blues au flamenco…
Entre le Duc des Lombards et le Reims jazz Festival…
Un air de kazou venu d’Alaska !
Marian, jeune et jolie rouquine, s’affiche comme une égérie de la culture geek. Ses chansons avec un poil de jazz sont aussi espiègles qu’humoristiques. Poil de carotte ?
I’ll still be a geek after nobody thinks it’s chic ! Morceau de la semaine ?
Eh oui ! Pas que des ours à Anchorage. Et même du soleil…
Issue de Portland, Esperanza vient de sortir un troisième album : Chamber Music Society, carrefour détonnant entre jazz et classique.
‘L’industrie du disque a tendance à orienter les goûts des gens et à les limiter. Mais je crois qu’il y a encore des auditeurs qui ont envie d’être étonnés. Après m’avoir écoutée, certaines personnes me disent qu’elles pensaient ne pas aimer le jazz. Mais qu’en fait, c’est génial‘…
Vendredi dernier au Palace de Lillers : Miss White and the drunken piano partagent l’affiche avec Hadouk trio…
Dehors, le temps est morose : pluie et grisaille.
Quelques irréductibles se serrent au bar du Palace en attendant le début du concert.
Miss White ouvre le bal en robe blanche. Son piano décomplexé mène la danse. Hip hop et beat boxers, tous dans le même bateau, ivres de plaisir…
Changement de plateau. Voici le Hadouk trio. Didier Malherbe, dit Doudouk, nous emmène avec ses complices dans une balade musicale autour d’un jazz nomade entre Afrique et Orient…
Encore une improvisation de Doudouk au bar et la soirée finit ensoleillée !