A 69 ans, Robert Fripp se révèle toujours aussi imprévisible. Il reforme son groupe le temps d’une tournée qui passe à Paris, le temps de trois concerts à l’Olympia.
Le ‘roi fripé’, d’un album de Médéric Collignon, reste toujours aussi imprévisible. Il avait pourtant dit qu’il stoppait tout. Plus de logique commerciale ! Devrait-il réparer sa piscine ?
Trois batteurs en façade ! Déjà deux, je me demande bien pourquoi ?
Quant à Robert, casque sur les oreilles et figé devant son rack d’effets, il dégomme des riffs surprenants d’efficacité et de sonorité…
Tony Levin, vieux complice de Peter Gabriel, assure la partie basse, chapman stick y compris (guitare dont on frappe les cordes). Jakko Jakszyk au chant et à la guitare, Mel Collins (sax et flûte), Bela Bartok pour les influences, Bob assume son rôle d’unique membre permanent du groupe…
Fin de la soirée au bar de l’Olympia avec Marilo, Thierry et Stef. Merci pour les vingt minutes d’entracte offertes !?!